Comprenez le déroulement du grand oral du bac

Il est primordial de comprendre le déroulement des épreuves orales du bac afin d’éviter les mauvaises surprises. À noter que ces épreuves sont liées aux 2 spécialités suivies par le candidat en Terminale. De ce fait, les 2 questions posées peuvent être transversales ou s’adosser à un seul enseignement de spécialité. Ces questions sont choisies et préparées par le candidat pendant l’année, selon ses intérêts et ses atouts.

Le grand oral se déroule en 5 étapes et dure 40 minutes. Il commence par le choix du sujet par le jury (parmi les 2 sujets proposés par le candidat). Il s’enchaîne avec la préparation de l’intervention pendant 20 minutes. Vient ensuite, la présentation du sujet par le candidat pendant 5 minutes. Puis, il y a des échanges de 10 minutes avec le jury. Les épreuves orales se terminent avec la description du projet d’orientation par le candidat. Ce sujet est très important dans la mesure où cela lui permet de se situer et de choisir une filière en fonction de son parcours scolaire et de sa personnalité.

Définissez en avance les stratégies à adopter pour mieux affronter le jury

Le grand oral du bac permet, d’une part, d’évaluer la capacité du candidat à écouter, à discuter, à expliquer, à argumenter et à convaincre. Et d’autre part, à analyser ses compétences pour la suite de ses cursus. Ainsi, il doit faire preuve de maturité. Pour atteindre ces objectifs, le candidat doit définir les bonnes stratégies.

Pour s’entraîner, il est conseillé de réviser et de maîtriser les spécialités choisies ainsi que la méthodologie. Pour ce faire, le candidat doit saisir les opportunités de prise de parole, notamment pour exercer sa voix ainsi que son langage corporel.

Par ailleurs, un coaching de préparation au grand oral du bac et un accompagnement personnalisé s’avèrent efficaces pour bien réussir cette épreuve. Ces préparations permettent au candidat de perfectionner ses compétences afin que celles-ci correspondent aux critères d’évaluation du Ministère. Cet accompagnement lui permet également de maîtriser la prise de parole en public.

Les avantages du TBI mobile

Le TBI mobile, de son ancienne appellation, permet de rendre vos cours plus dynamiques. Le tableau interactif mobile permet une meilleure interaction avec vos élèves. Vos cours seront plus riches et plus vivants. Ce tableau numérique interactif est facile à installer et il est simple à entretenir. Il possède une excellente longévité, ce qui est un atout considérable.

De plus, il fonctionne sur des supports mobiles motorisés mais également sur ceux qui ne le sont pas. Quel que soit l’appareil dont vous vous servez en classe, le TBI mobile s’y adapte. Caméra, ordinateur de bureau, PC portable, etc., le tableau est compatible. Il est également simple à utiliser, vous n’avez pas besoin d’une formation spécifique pour pouvoir le manipuler lors de vos cours.

Optez pour le tableau interactif mobile

Le tableau interactif mobile connaît un succès grandissant parce qu’il est facile à installer et à utiliser. C’est ce qui le rend plus pratique que le tableau interactif fixe. Aussi, pour mieux enseigner, mieux toucher vos élèves et mieux communiquer, anciennement appelé TBI mobile, l’ENI peut vous être vraiment utile.

D’un côté, les élèves apprécient beaucoup plus les cours présentés sur un écran interactif mobile. De l’autre, avec seulement un stylet, vous enseignez en toute facilité. A partir de la surface de projection, vous dessinez, vous annotez et vous faites votre présentation. Grâce à un support mobile adapté, vous disposez d’un kit écran interactif mobile.

Ainsi, vous pouvez le déplacer sans peine, vous n’avez plus qu’à faire rouler tranquillement votre écran d’une salle à une autre. Puisqu’il est d’un prix raisonnable, dépense peu en entretien et peut être utilisé dans plusieurs classes, son coût de revient est intéressant.

Favorise l’interaction entre l’enseignant et ses apprenants

La caméra de table est somme toute un appareil polyvalent et pratique dans le domaine de l’enseignement. Il simplifie la transmission du savoir en permettant aux apprenants d’accéder en temps réel aux éléments de cours qui leur sont présentés en classe. Simple de fonctionnement, le visualiseur de documents offre un gain de temps considérable à l’enseignant. Grâce à cet appareil, ce dernier est en mesure de présenter n’importe quel type de document écrit à l’ensemble de sa classe (document historique, page d’un manuel, etc.). Comme le visualiseur permet la projection d’images sur un support opaque ou un tableau, il capte directement l’attention des apprenants. En affichant chaque point important du cours et en y présentant chaque modification, correction ou note, l’enseignant est ainsi en mesure de garder la concentration de ses élèves. D’autre part, il faut savoir que certains apprenants, et particulièrement les plus jeunes, seront plus enclins à s’intéresser à un enseignement prodigué grâce à des images de ce type.

Donne accès à de nouvelles manières d’apprendre

Le visualiseur favorise également une meilleure transmission du savoir dans la mesure où il peut s’utiliser conjointement avec certains logiciels. Ces derniers évitent, par exemple, qu’un document trop ancien ne soit dégradé au cours de la présentation du cours. Avec un zoom, il est possible pour les apprenants de visualiser les moindres détails énoncés par leur enseignant. Le visualiseur de documents a l’avantage de dynamiser un cours du simple fait qu’il diffuse en grand sur un mur ou un support tous les éléments s’y afférant. Tous les apprenants, même ceux qui sont placés au fond de la salle, bénéficient ainsi de toutes les notes et explications pouvant les aider à bien comprendre le cours en question. Enfin, le côté numérique de la caméra de table apporte aux enseignants de nombreuses possibilités pour aborder leurs cours et inciter leurs apprenants à y participer de manière plus active.

Qu’est-ce que l’impression à chaud ?

L’impression à chaud est aussi connue sous le nom d’estampage à chaud. C’est une méthode d’impression qui consiste à obtenir un imprimé unique en appliquant une fine feuille métallique sur la surface à imprimer. L’aspect obtenu peut être mat ou brillant.

Il existe aujourd’hui deux techniques d’impression à chaud. La première est l’impression à chaud traditionnelle. Pendant le processus, il faut utiliser des plaques de métal sur lesquelles sont gravés les designs choisis. Puis, la fine feuille est placée au-dessus de ces plaques, chauffée et ensuite pressée sur la partie à imprimer. Elle est ainsi collée et incorporée sur la surface imprimable. La deuxième est l’impression à chaud digitale. Pour celle-ci, un graphisme est imprimé de façon digitale en utilisant des feuilles spéciales. Ce procédé ne nécessite pas de plaques d’impression.

Les bonnes raisons d’opter pour l’impression à chaud

Le plus grand avantage de l’impression à chaud est sa finition luxueuse. C’est une des raisons pour lesquelles, elle est surtout choisie pour réaliser des cartes de visite ou des magazines. De plus, c’est une technique réalisable sur des surfaces autres que le papier. D’ailleurs, certains prestataires proposent des impressions sur les pots à glaces et les gobelets en carton.

Alors, si vous cherchez un rendu attrayant et unique pour vos impressions, consultez le site de Sprint24 et profitez de ses offres. Ce spécialiste reçoit des commandes par téléphone et vous répond en envoyant un devis.

Les différents types de feuilles

L’imprimeur utilise principalement des feuilles métallisées pour l’impression à chaud. Mais il y en aussi qui utilisent d’autres feuilles comme celles en métal à gratter et les films pigmentés. Les feuilles de métal sont surtout prisées pour réaliser des tickets à gratter. Comme son l’indique, la surface est à gratter. Pour une surface en plastique ou en papier, les films pigmentés sont souvent utilisés. Le résultat obtenu sera texturé, mat ou brillant.

Suivez une formation

La formation en prise de parole en public de l’Ecole Française peut grandement vous aider. En effet, si vous tenez un rôle important au sein d’une entreprise (responsable RH, chef des sapeurs-pompiers, homme politique, etc.), vous risquez d’être amené à prendre souvent la parole en public. Dans ce cas, vous avez besoin de savoir ordonner vos idées tout en gérant la pression pendant votre prise de parole. Cela ne s’apprend pas rapidement. Il faut également de la pratique pour que vous puissiez vous habituer à parler en public. La formation dure au total 4 semaines, mais vous pourrez apprendre à votre rythme. En effet, il vous est possible de choisir selon votre disponibilité des cours de quelques minutes par jour ou de quelques heures par week-end. De plus, vous ne serez pas seul puisque vous pourrez demander l’aide d’un coach pour vous accompagner pendant les séances en visio-conférence.

Évitez le « par cœur » et limitez la lecture

Afin de ne pas avoir le trac lors de votre discours, vous aurez besoin de le planifier et de faire quelques répétitions pour vous mettre à l’aise. Selon le type de discours que vous devez réaliser, il se peut que vous ayez besoin de lire un texte préparé. Vous focaliser sur la lecture peut toutefois donner un aspect moins naturel à votre discours et vous serez tenté de l’apprendre par cœur. Ce n’est pas une bonne idée, car en cas de léger oubli, vous risquez de perdre le fil de vos idées. Il est préférable de vous aider de quelques supports visuels indiquant les grands points que vous devez aborder dans votre discours. De cette manière, vous pourrez vous exprimer de manière plus naturelle et ainsi mieux capter l’attention de votre audience. À moins d’avoir une certaine expérience, ne vous lancez pas dans les discours improvisés. Vous risquez de ne pas bien agencer vos idées et d’oublier certains points importants.

Maîtrisez le stress

L’on peut être stressé lorsqu’on doit passer un examen de la fonction publique ou un simple contrôle à l’école, lorsqu’on veut demander une augmentation de salaire, etc. Avoir le trac lorsqu’on prend la parole en public est aussi normal. Heureusement, il existe de nombreux moyens de maîtriser votre peur. Pour détendre l’atmosphère, vous pouvez par exemple oser de temps en temps faire un peu d’humour. Cela évacuera un peu la tension que vous ressentez et rendra votre auditoire un peu plus réceptif. Faites toutefois attention, car si le public n’est pas réceptif à votre humour, vous risquez d’être encore plus tendu. Si possible, faites votre présentation avec le sourire. C’est un bon moyen d’évacuer la tension et de pouvoir communiquer sous un ton plus naturel. Enfin, répétez le plus souvent possible votre discours, en étant seul face à un miroir ou en présence d’une audience réduite, composée par exemple de quelques personnes de confiance. Cela vous aidera à vous mettre plus facilement dans l’ambiance au moment de prendre la parole.

Coordonner les temps de révision

L’organisation est la base du succès de tout projet. Pour cela, il faut prendre le soin de lister toutes les matières à réviser pour ne pas avoir de mauvaises surprises le jour des examens. Une fois le listing terminé, il est indispensable d’établir un emploi du temps bien précis et réparti entre révisions et exercices. Le programme doit tenir compte des résultats escomptés et de plusieurs objectifs spécifiques. Il faut, par exemple, consacrer beaucoup plus de temps aux matières ou aux sujets qu’on ne maîtrise pas bien.

Bien préparer l’épreuve orale

Il ne faut pas attendre de réussir les tests écrits pour penser à préparer la présentation orale. Il est nécessaire d’entamer le concours avec un esprit positif. En général, la partie orale du concours est effectuée dans un intervalle de temps assez serré après la réalisation de l’examen écrit. La durée exacte varie selon la nature de l’épreuve, mais dans tous les cas, il faut être capable de bien la gérer. Une fois les écrits terminés, l’idéal serait de faire des simulations répétées pour s’assurer d’être prêt pour le grand jour.

Être curieux et s’informer

À travers les recrutements, l’Administration aspire à s’entourer des meilleurs sur tous les plans. Au-delà des qualifications, il y a la culture générale. C’est un critère très important étant donné qu’il augmente les chances de passer le concours avec succès. Que ce soit à l’oral ou à l’écrit, la probabilité de tomber sur un sujet sur les actualités est non négligeable. Vous serez d’ailleurs tenu de suivre les actualités lorsque vous serez admis dans un poste au service de l’État. De ce fait, il ne faut pas hésiter à parcourir les journaux et à suivre les infos télévisées en accordant le maximum d’attention à l’aspect étatique des nouvelles.

Privilégier le choix de la durée des études

Parfois, le critère temporel prime dans le choix des études supérieures pour certains bacheliers STMG. Ceux qui préfèrent des cursus de courtes durées se plairont en BTS ou en DUT qui se font seulement en deux ans. Ce sont tous deux des études professionnalisantes pour acquérir des compétences dans le domaine de votre choix. À l’issue d’un BTS ou d’un DUT, l’étudiant a la possibilité de travailler directement ou encore de poursuivre ses études en école spécialisée voire en grandes écoles et acquérir une licence, un master voire plus. Pour ceux qui sont prêts à consacrer du temps dans les études, vous pouvez entamer une formation en classe préparatoire. Les prépas de la filière économique et commerciale sont accessibles pour les titulaires d’un bac STMG. Cette formation de deux ans vous permettra d’intégrer une grande école en fonction de votre choix de filière.

Pourquoi intégrer l’université après un bac STMG

L’année dernière, 39 % des bacheliers STMG ont choisi d’intégrer une université. La double casquette octroyée par ce bac permet aux futurs étudiants d’avoir un large choix de filières. Les filières économies et gestion sont parmi les plus prisées en raison de la continuité avec l’apprentissage au lycée. Vous pouvez poursuivre une licence dans divers domaines comme la gestion, la comptabilité, le commerce, les ressources humaines ou les finances dans ce cas. Votre voie est également ouverte pour une licence en administration économique et sociale qui s’articule autour de quatre disciplines à savoir l’économie, le droit, la gestion et les sciences sociales. Néanmoins, un bachelier STMG peut prétendre à des filières en sciences humaines et sociales ou dans d’autres domaines à condition de remplir les conditions nécessaires.